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Français d'ici et d'ailleurs

Au Québec, lorsque le café est trop léger et sans saveur, on dit que c’est du « jus de chaussette » ou bien de « l’eau de vaisselle ».
En France, un café qui est imbuvable, c’est de la « lavasse ». 

En Belgique, c’est plutôt de la « lapette ».

Lorsqu’il pleut abondamment, on dit « il pleut à plein ciel, à torrents, à verse ».
Au Québec, on dit « il pleut à boire debout » ou « il pleut à siaux ».
En France, on dit plutôt « il pleut à seaux ».
Toujours dans un registre familier, et particulièrement en France, on dit aussi « il pleut des hallebardes » ou « il pleut comme vache qui pisse ».

En Belgique, on dit « il drache ».

Au Québec, lorsqu’on fait une chute, on « prend une débarque ».
En France, on « prend une gamelle ».

Si vous êtes de ceux ou celles qui recherchent les aventures amoureuses, on dit « courir la galipote », au Québec.
En France, on dit plutôt « courir la prétentaine, le guilledou ».

Au Québec, on dit « C’est une Québécoise pure laine ».
En France, on dit plutôt « C’est une Québécoise pur sucre ».

À l’heure du brunch, au Québec, on peut opter pour du « pain doré ».
En Suisse, c’est de la « croûte dorée ».
Alors que dans le nord de la France, on dit du « pain crotté ou ferré ».

En Belgique, quand quelqu’un « tire son plan », c’est qu’il se débrouille seul.
Ailleurs, on dit qu’« il se tire d’affaire, il s’arrange, il se démerde ».

En France, « se faire une tête » c’est se maquiller de façon à se faire une physionomie particulière.
Au Québec, c’est plutôt « se faire une idée, une opinion sur quelque chose ».

« Il lui manque un bardeau », dit-on au Québec. 
« Il lui manque une case », dit-on en France.
« Il n’a pas toutes ses frites dans le même cornet », dit-on en Belgique.
Voilà autant d’expressions pour dire que quelqu’un est un peu fou, ou encore simple d’esprit.

En France, « vous faites la lippe ». 

Au Québec, « nous faisons la baboune ».
Cela signifie « faire la moue, bouder ».

En France, on est « en pétard ».
Ici, au Québec, on est plutôt « en maudit ».

Lorsqu’on éprouve une grande satisfaction, on va se « péter les bretelles », au Québec.
Cela peut également vouloir dire « se vanter ».
Ailleurs, on va tout simplement « jubiler » ou « s’enorgueillir », selon le contexte.

Parmi les ingrédients d’une recette de dessert, on y trouve parfois du sucre en poudre. 

Au Québec, on utilise le terme familier « sucre à glacer ». 

En France, c’est du « sucre glace ». 

En Belgique, on emploie le terme « sucre impalpable ».

La « névasse », c’est une neige gorgée d’eau, souvent sale et produisant des éclaboussures.
Au Québec, on dit familièrement la « sloche », la « gadoue ».
En Suisse, c’est la « tiaffe ».

Si ça ne vaut rien, alors « ça ne vaut pas tripette », en France.
En bon québécois, on dit « ça ne vaut pas de la chnoute ».

Si on vous dit que votre gâteau au chocolat est « crapuleux », en Belgique, c’est qu’il est tout simplement « délicieux ».
Cependant, un crime crapuleux a bien le sens négatif que l’on connaît.

Sur les routes de la Belgique, il convient de mettre votre « clignoteur » avant de changer de voie, de tourner à gauche ou à droite.
Nous, au Québec, on mettra notre « clignotant ».

« Faire de l’esbroufe », c’est essayer d’en imposer, se vanter, en France.
Au Québec, on dit « péter de la broue ».

« Ne pas être fait en chocolat », au Québec, c’est ne pas être trop fragile (pour sortir sous la pluie, par exemple). 

En France, on dit plutôt « Ne pas être fait en sucre ».

La neige entassée par le vent, les souffleuses, les pelles et les déneigeuses représente le « banc de neige », au Québec.

En France, c’est la « congère ». 

En Suisse, il s’agit de la « gonfle » ou la « menée ».

Si je mets de « l’huile de coude », en France, afin d’accomplir une tâche, cela signifie que j’y mets toute l’énergie nécessaire afin d’y parvenir.
Au Québec, on y met plutôt du « jus de bras ».

En Belgique, lorsqu’on réprimande quelqu’un, on lui « passe un cigare ».
Au Québec ou en France, on lui « passe un savon ».

« Il fait caillant », dit-on en Belgique lorsqu’il fait très froid.  

En bon québécois, on dit « Il fait frette en calvette ».

« Se faire du mauvais sang, se faire un sang d’encre, se ronger les sangs », voilà autant d’expressions familières pour exprimer le fait qu’on s’inquiète terriblement.
En France, lorsqu’on se fait du souci, on dit aussi « se biler ».
Tandis qu’au Québec, on dit « se faire du sang de cochon » ou « se faire du sang de punaise ».

Pour exprimer le fait que l’on change d’opinion, de croyance, ou de parti, on « vire son capot de bord », au Québec.
En France, on « retourne sa veste » ou on « tourne casaque ».

Pour entamer la journée, rien de tel qu’une bonne « tasse de café ». 

En Belgique, on prend une « jatte de café ».

Au Québec, pour souligner la qualité d’un service, on donne volontiers un pourboire.
En France, « on donne la pièce ».
En Afrique, « on donne un matabiche ».
Et en Belgique, « on donne une dringuelle ».

Au Québec, pour qualifier quelqu’un de naïf, qui n’est pas très malin, on dit qu’« il n’a pas inventé le bouton à quatre trous ».

En France, on dit plutôt qu’« il n’a pas inventé le fil à couper le beurre », ou encore qu’« il n’a pas inventé l’eau tiède ».

Vous avez assurément joué à ce jeu de ballon lors de votre passage à l’école primaire qui consiste à éliminer l’équipe adverse en les touchant par le ballon lancé sur chacun des camarades.
Au Québec, il s’agit du « ballon-chasseur ».

En France, on le désigne plutôt comme le « ballon-prisonnier ».

S’il vous arrive de vous sentir mal à l’aise à cause d’une situation embarrassante, vous vous efforcerez sans doute d’en sortir. 

Vous vous « démènerez comme un diable dans l’eau bénite », au Québec. 

Une version quelque peu différente, en France, car vous vous « démènerez comme un diable dans un bénitier ».

Vous devez vous dépêcher pour arriver à temps?
Au Québec, on vous dira, de manière quelque peu vulgaire, de « vous grouiller le cul ».
En France, vous devrez « vous magner le cul ».

L’équivalent du proverbe québécois « Faute de pain, on mange de la galette », qui signifie qu’il faut se contenter de ce que l’on a, à défaut de mieux, est « Faute de grives, on mange des merles » en français européen.

En Europe francophone, lorsqu’on est habile à cultiver les plantes, « on a la main verte ou les doigts verts ».
Au Québec, « on a le pouce vert ».

Au Québec, dans un langage très familier, le verbe « bretter » signifie « prendre son temps pour faire quelque chose, être lent ».

En France, c’est plutôt un terme appartenant au langage technique qui veut dire « strier avec un outil dentelé ».

Lorsqu’on déploie de grands efforts pour faire quelque chose, « on se casse le cul », en France.

Au Québec, « on se le fend ».

La « laine d’acier », au Québec. 

La « paille de fer », en France.
C’est l’ensemble de filaments de métal réunis en paquet, pour poncer une surface.

Au Québec, la « tourtière » est un pâté à la viande.

En France, c’est plutôt le plat de cuisson utilisé pour préparer la tourte.

Pour nous, au Québec, la tourte c’est la tarte (si la préparation est sucrée) ou le pâté (si la préparation est salée).

Cependant, dans le sud-ouest de la France, la tourtière représente un gâteau de pâte feuilletée, avec des fruits.

Au Québec, le féminin du terme « chauffeur » est « chauffeuse ».
En France, le mot « chauffeuse » signifie plutôt « fauteuil bas sans accoudoirs ».

Au Québec, quand on « chiale », cela veut dire qu’on se « plaint », qu’on « rouspète ».
Cependant, quand nos cousins Français chialent, cela signifie qu’ils « pleurent ».

Si vous trouvez un « papillon » sur votre parebrise, voilà un joli signe du printemps! 

Du moins, au Québec.

En France, vous ferez sans doute la moue, car un papillon, c’est aussi un terme utilisé pour dire que c’est un « avis de contravention ».

En France, quand vous êtes en forme, on dit « vous avez la frite » ou « vous avez la pêche ».
Au Québec, « vous pétez le feu ».

S’il vous arrive de « tailler une bavette » avec votre voisin, et qu’en plus vous vous « tordez comme une baleine », cela signifie, en bon québécois, que vous « piquez une jasette » et que vous « avez les oreilles qui vous claquent dans la face ».

En Belgique, quand quelqu’un se recroqueville, se replie sur lui-même, c’est qu’il « se racrapote ».

Saviez-vous que le mot « toutou » utilisé dans le langage enfantin, au Québec, pour désigner un animal en peluche n’est pas connu en Europe francophone?

Toutou, c’est un chien fidèle, un bon chien. 

En Suisse, si tu fouilles ou tu fouines, alors tu « chneuques ».

Bien hâte que le soleil se pointe pour siroter une délicieuse « limonade ». 

C’est le terme en usage au Québec. 

En France, on boit plutôt une « citronnade ».

Une journée sous la grisaille.
Au Québec, c’est « ennuyant ».
Dans le langage très familier, on dira surtout que c’est plate!
En France, c’est plutôt « ennuyeux ».

« Eh, fais vinaigre! », dit-on en France.

Au Québec, dans un registre familier, c’est plutôt « Eh, grouille-toi! » 

Pour ramasser les petites particules qui se déposent sur le plancher, on utilise un « porte-poussière », au Québec. 

On dit plutôt une « pelle à poussière », en France. 

En Belgique, on utilise un « ramasse-poussière » ou une « ramassette ». 

Alors qu’en Suisse, on dit une « pelle à cheni ».

Au Québec, pour désigner quelqu’un qui est maladroit, peu débrouillard, on dit qu’« il a les deux pieds dans la même bottine ». 

En France, « il a les deux pieds dans le même sabot ».

En Belgique, « on fait un à-fond » ou « on fait cul blanc ».

Au Québec « on fait cul sec », c’est-à-dire boire son verre d’un seul trait. 

Et si on le fait trop souvent, on risque de « se prendre une douffe », qui, vous l’aurez deviné, signifie « être en état d’ivresse ».

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